Quentin Gravaud
Ayant découvert le monde de la photo récemment, mon regard s’est rapidement porté sur la photographie de nature et plus précisément de la faune sauvage.
Aujourd’hui, cela va plus loin que l’acte mécanique d’un simple déclenchement. La photo est un prétexte magnifique pour s’immerger dans les secrets de la vie sauvage, se fondre dans un monde qui n’est plus le nôtre et ressentir de nouveau les sens s’éveiller.
L’ambiance joue un rôle prépondérant dans mes images, du moins tout aussi important que l’animal. À mes yeux, l’un sublime l’autre et inversement. L’environnement est l’écrin dans lequel l’animal prend vie. Une météo capricieuse, des éléments qui se déchaînent, une lumière particulière, des courbes ou toutes autres formes peuvent être un moyen de suggérer des émotions, de raconter une histoire. On finirait presque par en oublier un point essentiel, l’animal. Une silhouette, un portait, une attitude…
Le fragment de temps qui en résulte est un instant qui m’est cher. Ces moments sont comme de petits trésors à mes yeux, venant récompenser des heures de terrain, des dizaines de nuits dehors…
La photographie animalière et les images qui en découlent ne sont qu’une infime partie réellement visible. Elles cachent en fin de compte toute une aventure, qu’il est difficile d’expliquer avec de simples mots. Aucune règle ne dicte cette passion. Sauf une, et qui devrait s’imposer à tous ceux qui la pratiquent, le respect du milieu et des êtres qui l’habitent.
Quentin Gravaud
Ayant découvert le monde de la photo récemment, mon regard s’est rapidement porté sur la photographie de nature et plus précisément de la faune sauvage.
Aujourd’hui, cela va plus loin que l’acte mécanique d’un simple déclenchement. La photo est un prétexte magnifique pour s’immerger dans les secrets de la vie sauvage, se fondre dans un monde qui n’est plus le nôtre et ressentir de nouveau les sens s’éveiller.
L’ambiance joue un rôle prépondérant dans mes images, du moins tout aussi important que l’animal. À mes yeux, l’un sublime l’autre et inversement. L’environnement est l’écrin dans lequel l’animal prend vie. Une météo capricieuse, des éléments qui se déchaînent, une lumière particulière, des courbes ou toutes autres formes peuvent être un moyen de suggérer des émotions, de raconter une histoire. On finirait presque par en oublier un point essentiel, l’animal. Une silhouette, un portait, une attitude…
Le fragment de temps qui en résulte est un instant qui m’est cher. Ces moments sont comme de petits trésors à mes yeux, venant récompenser des heures de terrain, des dizaines de nuits dehors…
La photographie animalière et les images qui en découlent ne sont qu’une infime partie réellement visible. Elles cachent en fin de compte toute une aventure, qu’il est difficile d’expliquer avec de simples mots. Aucune règle ne dicte cette passion. Sauf une, et qui devrait s’imposer à tous ceux qui la pratiquent, le respect du milieu et des êtres qui l’habitent.
